Né en Bretagne d’un père ukrainien, Nicolas Fédorenko mêle la séduction des couleurs des peintres de Pont-Aven au grand recyclage des signes mis au jour avec l’avènement de la Perestroïka. S’il faut demander aux artistes s’il est un « peintre pour peintres », ce géant injustement méconnu est assurément un « peintre des peintres » tant il brasse largement et sans complexe l’histoire de la peinture pour mieux brosser la sienne.

Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°83 de la revue Art Absolument.
Parution le 23 mai 2018

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