La Pente de la rêverie
L'exposition
« Amis, ne creusez pas vos chères rêveries », nous met en garde Victor Hugo dès le premier vers de l’aîné de ses poèmes visionnaires intitulé La Pente de la rêverie, où il annonce pour Baudelaire « le souffle grandiose et lyrique des grands poèmes de l’exil ». Dans le souci de ne pas entraver l’imaginaire du lecteur, l’exposition se garde de toute analyse académique et offre visions et échos de cette épopée fantasque en alexandrins. « La spirale est profonde » et le rythme soutenu : quand Hugo compose son poème, des images propres à la contemplation, vedute et autres descriptions d'architectures antiques, stupéfiantes et apocalyptiques nourrissent les mots des Occidentaux.
Extrait de l'article de Charlène Rioux dans le N°75 de la revue.
Extrait de l'article de Charlène Rioux dans le N°75 de la revue.
Quand
17/11/2016 - 30/04/2017