À Cassel, quelques 90 peintures et études animalières mettent en lumière les échanges de motifs picturaux opérés dans la région d’Anvers entre 1610 et 1680, et ce notamment grâce à l’encyclopédie de Conrad Gessner. Anvers, puissante du commerce avec les Indes, est alors un lieu de convergence, tandis que l’émergence de certaines ménageries – celle de Rodolphe II ou de Louis XIV – permet aux artistes de peindre d’après nature des lions, des guépards ou encore des dodos…

Extrait de l'article de Morgane Etoundi dans le N°74 de la revue. Parution le 16 novembre 2016.

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