Ernest Breleur. Le vivant, passage par le féminin

Ernest Breleur. Le vivant, passage par le féminin : Sans Titre. série : l'énigme du désir, 2014. Feutre sur papier. 125 x 125 cm. Courtesy: Maëlle Galerie    Ernest Breleur. Le vivant, passage par le féminin : Sans Titre. série : l'énigme du désir, 2014. Feutre sur papier. 125 x 125 cm. Courtesy: Maëlle Galerie   


L'exposition


À propos de ton travail de dessin, moins connu mais également exposé à la Fondation Clément, dans quelle mesure est-il lié à la sculpture ?
L'exposition est en deux parties : d'un coté mon travail de dessin, de l'autre mes sculptures. Deux pratiques très différentes, notamment à cause de l'aspect plus figuratif du dessin, mais entre lesquelles je vois une relation étroite, ne serait-ce que sur le plan formel. Une pratique n'a jamais précédé l'autre, je pense les avoir développées simultanément. Chacune d'elles, mais plus particulièrement le dessin, me permettent d'avoir ces grands moments de méditation, de questionnement sur la spatialité, le miroitement et la profondeur. J'associe davantage le dessin à mon passé : j'ai en effet découvert la chapelle Sixtine et l’exubérance de Rubens lorsque j'étais étudiant. Grâce au dessin, je transcende mon passé.


Extrait de l'article de Ernest Breleur publié dans Numéro 70 de la revue Art Absolument

Quand


28/04/2016 - 16/06/2016

Les artistes


Ernest Breleur
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