Les murs de la cité. Blues et Renaissance

Les murs de la cité. Blues et Renaissance : Fernand Léger. L'échafaudage au Soleil. 1951, lithographie en couleur. Collection Musée de Gravelines.    Les murs de la cité. Blues et Renaissance : Frans Masereel. Solitude. 1957, gravure sur bois. Collection Musée de Gravelines.   


L'exposition


La ville s’inscrit dans une temporalité particulière. Immuable, elle résiste à la vie de l’homme, évoluant dans un perpétuel mouvement, qu’il soit constructif ou destructif. Ce va-et-vient est une source d’inspiration pour les artistes graveurs qui expriment leurs sentiments face à la cité, tour à tour mélancoliques, conquérants ou poétiques. L’élan de L’échafaudage au soleil de Fernand Léger représente la ruée vers le ciel, rendue possible par le progrès mécanique, alors que Solitude de Frans Masereel nous met face à l’isolement de l’individu, plongé dans la masse obscure de la vie nocturne urbaine.

Agathe Torres

Quand


18/04/2015 - 20/09/2015

Les artistes


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