Jacques Brown – Un univers fantastique

Jacques Brown – Un univers fantastique : Char capricornien, 1966, Polyester, H.407 cm ; l.386 cm; p. 142 cm, Crédit : clichés OC-Musée de Vannes    Jacques Brown – Un univers fantastique : Ecce Homo 1954-1956, polyester, h.260 l.115 cm, p.78 cm, Crédit : clichés OC-Musée de Vannes    Jacques Brown – Un univers fantastique : Etienne-Martin 1967-1974, Polyester 286 x 137 x 96 cm, Crédit : clichés OC-Musée de Vannes   


L'exposition


L’art sculpté de Brown s’envisage comme la figuration d’un corpus de chimères, un bestiaire baroque annihilant les frontières d’avec l’imaginaire de leur créateur. Et pour la réalisation de ses « machines », l’utilisation d’une résine de polyester préalablement colorée a sa préférence à partir de l’hiver 1954-1955, soit avant son usage pop par les Nouveaux Réalistes dans les années 1960 et après. Investi par la problématique d’une sculpture plus taillée dans la couleur que peinte à sa surface, le polyester sera plus tard, dans les années 1970, la cause de maladies pulmonaires chez l’artiste, entraînant d’intenses angoisses.

Extrait de l'article de Tom Laurent à paraitre dans le n°54 de la revue Art Absolument : publication le 28 juin 2013.

Quand


01/06/2013 - 06/10/2013

Les artistes


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