L’œuvre abondante d’Alexandre Hollan, qui met sa créativité au service de la nature dans son caractère le plus absolu, offre un panorama de motifs répondant à deux modèles exclusifs : les arbres et les natures mortes. Rothko pour son traitement de la couleur et Morandi pour son trait et le caractère vibratile du rendu, tous deux sont reconnus par le plasticien comme des sources d’influence fécondes. Peintre de l’indicible, des secrets enfouis, de l’énergie, ses toiles sont le support de sa quête constante d’invisible et d’infini, puisant leur force dans l’oscillation entre figuration et abstraction. [...]

Extrait d'un article de Maud Corcoral, du numéro 52 de la revue Art Absolument : parution mars 2013

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