Parti d’une idée de Marie-Hélène de La Forest Divonne de faire collaborer un regard tranché sur l’art d’aujourd’hui à la programmation de sa galerie, c’est assez naturellement que le nom de Pierre Wat s’est retrouvé associé à cette carte blanche qui lui est adressée. Familier d’un certain nombre d’artistes représentés par la galerie Vieille du temple, il a en retour proposé un dialogue entre quatre invités – Marcel Lubac, Raphaëlle Paupert-Borne, Florence-Louise Petetin et Jean Rault – et quatre créateurs dont les travaux avaient déjà été accrochés sur ses cimaises – Arthur Aillaud, Domitille Chaudieu, Guy de Malherbe et Anthony Vérot –, avec l’idée d’observer ce qui pouvait se passer entre les œuvres, les unes en regard des autres ou, comme l’explique Pierre Wat, « dans la distance qui les sépare ». (...)

Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°45 de la revue Art Absolument: parution le 21 décembre 2011

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