François Jeune

1953 (Lyon)
Vit à : Paris
Travaille à : Paris
Galerie de l'artiste

L’essentiel était là : produire une peinture dont l’avènement ne soit ni projectif ni déductif mais inductif. Les dernières œuvres de François Jeune prennent le problème à bras-le-corps, puisqu’aux vagues dégagements carrés ou rectangulaires qui étaient encore pensés négativement (trou, percée, brèche), elles substituent quelque chose de l’ordre du signe, avec toute sa positivité et sa consistance. Rien de calligraphique cependant, rien de dessiné. Tout concourt à empêcher le pinceau de se faire calame, au nom d’une procédure que le peintre nomme lui-même « peinture sur peinture ».











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